// il y a 11 ans
Petit déjeuner pris, nous partons vers Pamukkale et Hiérapolis. Pamukkale, « château de coton » en turc, est un parage naturel et une célèbre attraction touristique. La montagne est haute de 160 m et large de 2 700 m. Des sources d'eau chaude apparaissent avec une haute teneur en minéraux. Ce phénomène naturel produit d’épaisses couches calcaires blanches, des cascades, des terrasses en forme de croissant, contenant de l'eau peu profonde et des stalactites qui soutiennent et unissent ces terrasses. Pamukkale a été déclarée en 1988, avec Hiérapolis, Patrimoine de l’Humanité. Hiérapolis était connue comme ville sainte à cause du grand nombre de temples et sanctuaires érigés durant la période chrétienne.
Nous laissons derrière nous Pamukkale et prenons la route vers Aphrodisies, à environ 90 km au sud de Denizli. Aphrodisies, possède un aussi vaste et important site de ruines gréco-romaines que celui d'Ephèse. Nous admirons la magnifique porte monumentale, Tetrapilón, avec ses entrées doubles, chacune avec 4 colonnes qui les soutiennent. Le Stade, l'un des plus grands et mieux préservé du bassin méditerranéen, abritait quelque 30 000 spectateurs. Nous arrivons au temple d'Aphrodite, d'où le nom de la ville, à ses côtés, le temple de l'Odéon, parfaitement conservé, l'Agora et le Grand Théâtre, tout aussi biens conservés. Poursuivant notre chemin, à la nuit tombante, nous arrivions à notre prochaine destination après avoir fait près de 150 km, Mamaris. Ville côtière sans beaucoup de charme, pleine de touristes anglais.
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